Je recommande vivement ce très joli texte, qui parle des affres de la vieillesse et de l’amour.

Car alors que sa vie s’achève, dans un dernier élan de vitalité, le narrateur découvre enfin les délices de la passion, s’apercevant trop tard qu’il était passé à côté de l’amour tout au long de son existence.

Nous retrouvons ici toute la gouaille de Garcia Marquez, son énergie, sa compréhension de la vie et de la mort, de la beauté, de l’amour et de la psychologie de l’être humain.

Trop court, comme beaucoup de moments de bonheur

Samuel Mayol